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jeudi 26 juin 2014

Le SIDA un fléau qui tu





  Madame Christiane MIPIKU infirmière au centre de santé Kin- clinique de Makala, nous invite à nous protéger contre le VIH/SIDA. Ce dernier ne s’écrit pas sur le vissage ni sur le dos. Notre pays compte plus de 148.000 personnes atteintes du VIH/SIDA.

Qu’est-ce que nous entendons par le VIH/SIDA ?

Par le VIH, je dirai que c’est une infection qu’on trouve dans les cellules et le SIDA est sondage avancé à la cour du quel la personne infecté présente des infections opportun de virus qui tue tout les globules blancs déstabilise la défense des organismes puis ouvre la route pour toute les autres maladies.
Une personne qui a le VIH n’a pas encore le SIDA.

Quelles sont les modes de transmission de cette épidémie ?

La transmission se fait de trois manières premièrement par la voie sexuelle, ici la transmission se fait par les relations hétérosexuelles, homosexuelle et cela se fait lors de relation sexuelle non protéger par l’intermédiaire de muqueuse vaginale, analebucale. La pénétration du virus a travers le muqueuse se fait lorsqu’elles sont en contacte avec la sécrétion génitale ou du sang contenant du VIH et on retrouve la cellule infecté dendritique dans la sous muqueuse. La transmission par cette voie peut se faire avec ou sans éjaculation.

En suite par la voie sanguine, elle représente 10 à15 pour cent ulcération elle comprend : l’acte de transfusion, l’administration des dérivées sanguines, l’usage des matériels non stérilisés, la contamination par exposition du sang, usage de drogue par I.V, pratique de scarification de tatouage, la transmission nosocomiale, la transmission au soignant ou soigné. Enfin par la transmission verticale de mère à l’enfant elle se fait pendant la grossesse, l’accouchement et l’allaitement.

Ce virus se trouve en grande quantité dans le sang et les sécrétions génitales (sperme et sécrétions vaginales) et en petite quantité dans le liquide céphalo-rachidien le liquide pleural, liquide broncho-alvéolaire et d’autres liquides corporels.

 Une fois en contact avec la salive d’une personne atteinte peut aussi vous contaminer ?

Par le liquide où l’on trouve une petite quantité de virus cela ne se transmet pas mais selon les études faites en 2003 on a constaté qu’en avalant 5 litre de salive d’une personne atteinte le virus se transmet mais de cas contraire cela ne se transmet pas de cette façon.

 Quelles sont les secteurs de risque et le comportement haut risque ?

les facteurs liés à la sexualité et au mode de vie, les facteurs socio-économiques, les facteurs biologiques. Du point de vue comportemental : nous devons éviter de pratiquer des relations sexuelles avec plusieurs partenaires sans préservatif et ne pas partager les sémiques avec d’autres personnes.

Comment devons nous préserver pour ne pas atteindre ce virus ?

Nous devons nous préserver par l’abstinence, la bonne fidélité, l’utilisation de condom et faire le dépistage volontaire avant de faire le rapport sexuel même si c’est votre première fois.

Dans notre pays, il y a les organes qui s’occupent des seropositifs, alors nous devons nous examiner, s’abstenire, eviter l’usage des objets tranchants et le contact directe avec le sang.

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