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vendredi 9 janvier 2015

LA SANTE MATERNELLE



Notre travail porte sur le 5ème objectif du millénaire pour le développement, il s’agit donc de «L’amélioration de la santé maternelle ». Pour commencer cette étude, nous sommes partis d’un constat selon lequel aujourd’hui plus que hier la santé de mères est bafouée, minorée voir même abandonnée à leur propre merci. Chaque jour dans le monde près de 800 femmes meurent à la suite des complications pendant la grossesse ou pendant l’accouchement, et cette réalité est beaucoup plus rencontrée dans le pays en développement.
Pour remédier ce problème, on a eu d’abord à détecter les causes qui peuvent constituer l’essence de cette réalité. Il s’agit des éléments suivants :
Ø  La pauvreté ;
Ø  Le prix exorbitant de l’accès aux soins ;
Ø  La non- application des conseils prodigués par les médecins ;
Ø  La malnutrition de la mère ;
Ø  L’absence d’une politique efficace du gouvernement sur la santé de la femme ;
Ø  Le manque d’hygiène de l’environnement.
Pour résoudre ce problème de complication de grossesse ou d’accouchement, on partira de la démarche méthodologique qui nous a été donné par le professeur. Il s’agit premièrement d’identifier les savoirs relatifs à l’OMD sur l’amélioration de la santé maternelle, deuxièmement construire des actions à amener pour résoudre ce problème et enfin, montrer la part de la communication.






1.    L’identification des savoirs relatifs à l’OMD sur l’amélioration de la santé maternelle
Pour l’amélioration de sa santé, la femme est dans l’obligation de connaitre certaines instructions lui permettant de mieux mener sa vie pendant et après sa grossesse. C’est ainsi qu’elle doit :     
a)    Recourir à la consultation prénatale (CPN)
La consultation prénatale est celle dont la mère bénéficie avant son accouchement. Cette consultation est très importante car, en la suivant, la femme bénéficie d’une surveillance médicale sûre et régulière ; elle reçoit des conseils et des instructions pour mener la gestation à bon terme ; elle connait les règles d’hygiènes pour elle-même et pour son bébé ; la santé de l’enfant est ainsi garantie, les conditions pour sa croissance intra-utérine sont idéales ; elle apprend comment donner des soins à son enfant lorsqu’il naitra[1].   
A ce niveau, la femme  recevra des informations sur :
Ø  La réception du vaccin antitétanique, VAT en sigle : Le docteur recommandera à la femme de prendre le vaccin contre le tétanos en raison des accidents qui peuvent arriver  pendant la grossesse et lors de l’accouchement, à cause des matériels utilisés ;
Ø  Son état de santé : La mère doit connaitre la situation de sa santé ainsi que de celle son enfant ;
Ø  La prise en compte du facteur à haut risque tel que le segment hémorragique génital, l’absence de mouvement du fœtus et du battement cardiaque de son enfant ;
Ø  Les notions d’hygiène : La mère devra bien contrôler l’hygiène de son corps ;
Ø  Le comportement à afficher : Le docteur conseillera à la mère comment se tenir dans la salle d’accouchement.



b)   S’entretenir avec les sages-femmes 
L’organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme ‘’sage-femme’’ comme étant une personne qui a suivi un programme de formation reconnu dans son pays, qui a réussi avec succès les études afférentes et qui a acquis les qualifications nécessaires pour être reconnue ou licenciée en tant que sage-femme.
La sage-femme doit être en mesure de donner la supervision, les soins et les conseils à la femme enceinte, la femme parturiente (qui est en train d’accoucher) et en période post-partum (la période du post-partum est celle qui s’étend de la fin de l’accouchement jusqu’au retour de couche, c’est-à-dire les premières règles après la grossesse).
Elle doit aussi être en mesure d’aider lors d’accouchement et d’administrer des soins au nouveau-né et aux nourrissons. Un nouveau-né est un enfant à partir de sa première heure de vie et jusqu’à ses 28 jours. De 28 jours à 2 ans, c’est un nourrisson.
Ces soins incluent les mesures préventives, le dépistage des conditions anormales chez la mère et l’enfant, le recours à l’assistance médicale en cas de besoin et l’exécution de certaines mesures d’urgence en l’absence d’un médecin.
Elle joue un rôle important dans l’éducation sanitaire, non seulement pour les patientes, mais aussi pour la famille et pour la préparation au rôle de parents. Le travail des sages-femmes peut se pratiquer en milieu hospitalier, en clinique, à domicile ou en tout autre endroit où sa présence est requise. C’est ainsi qu’il s’avère très important pour les femmes enceintes de pouvoir s’entretenir avec les sages-femmes car, en le faisant, les femmes enceintes acquerront des connaissances leur permettront d’améliorer leur santé maternelle. 
Après avoir montré l’importance des sages-femmes, nous ressortons à ce niveau les différents savoirs qu’elles apportent aux mères.
Les sages-femmes conseillent aux femmes enceintes (de) :
Ø  Arrêter,  à partir de  la 20ème semaine, toute activité professionnelle et de ralentir ses activités ménagères, tout en évitant de porter de lourdes charges; si possible de mettre en contribution son conjoint et ses parents ;
Ø  Passer des examens de routine c’est-à-dire ceux qui concernent la prise du poids (le poids est noté et contrôlé à chaque visite  de la femme, il constitue un bon indice dans le déroulement normal de la grossesse), la prise de la tension (le contrôle de la tension est nécessaire, cela donne des renseignements importants sur la santé de la femme enceinte. Si sa tension monte, le médecin est avisé, il prescrira des médicaments et surtout instaurera un régime sans sel) et  la recherche des albumines dans l’urine (les analyses d’urines sont faites dans le laboratoire. On y recherche en premier lieu, la présence de sucre et d’albumine, groupe de protéines) ;
Ø  Passer des examens concernant la prise de sang : la prise de sang est important car elle permet de détecter le paludisme, de connaitre le groupe sanguin de la mère afin de détecter éventuellement une incompatibilité sanguine ;
Ø  Passer un examen des selles : un examen des selles élimine le risque de verminoses (maladie parasitaire causée par les vers) nuisibles à la santé de la mère et de l’enfant ;
Ø  sur l’apprentissage de l’art d’être parent : le père et la mère connaitront de nouvelles responsabilités ;
Ø  Sur l’hygiène corporelle et vestimentaire ;
Ø  Sur le repos supplémentaire ;
Ø  Sur l’hygiène alimentaire de la future maman.

Outre les savoirs cités ci-haut, les sages-femmes mettent au courant les femmes sur :
les signes d’une grossesse anormale. les différents signes d’une grossesse anormale sont : l’hémorragie au cours de la grossesse, les douleurs abdominales de forte intensité, les vomissements fréquents ou abondants, des fortes nausées au début de la grossesse, une sensation de brulure en urinant, une urine trouble accompagnée de fièvre, un accès de paludisme, une anémie grave, etc.



c)    Recourir à la consultation pré- scolaire 
La consultation pré- scolaire est celle dont la femme bénéficie après l’accouchement.  Elle est beaucoup plus centrée sur l’enfant et permet à la mère de bien connaitre la santé de son enfant.
A ce niveau, le docteur aidera la mère de :
Ø  Connaitre l’évolution de son enfant en suivant à la loupe son poids : savoir si son poids est statique, évolutif ou pas. S’il n’évolue pas, on en cherchera la cause ;
Ø  Veiller sur l’alimentation de l’enfant et celle d’elle-même ;
Ø  Suivre le calendrier vaccinal ; 
Ø  Connaitre les différentes maladies épidémiques afin de protéger son enfant.

d)  Avoir une connaissance sur la planification familiale.
Avant de tout, les couples, les familles et surtout les femmes doivent avoir une connaissance approfondie sur la planification familiale ; c’est-à-dire connaitre qu’est-ce que ce la planification familiale ; quels sont ses objectifs et sa mission.
En effet, le terme planification familiale vient de l’anglais « Family planning ». Il semble être introduit pour la première fois de manière officielle, dans les années 30 par l’Association britannique pour le contrôle de naissance, qui après avoir pris le nom de Family planning association.
La planification familiale ou planning familial est l’ensemble des moyens qui concourent au contrôle de naissance. Elle permet à la population d’atteindre le nombre d’enfants souhaité. 
Certes, dans la planification familiale, il est donc conseillé aux parents d’espacer les naissances. Il leur est recommandé d’attendre au moins deux ans avant une autre grossesse. Ces précautions sauvent la vie des mères, des nouveaux nés et des enfants. Elles réduisent aussi les risques de grossesse non désirées chez les vivants avec VIH.

2.    Les différentes actions à  entreprendre
Avant de parler de différentes actions à entreprendre, il nous est important de préciser tout d’abord la cible du message, c’est-à dire, les personnes à qui le message est adressé.
Ø Cible :
·      Les familles : Elle est la cellule de base de toute société, c’est là que toute personne reçoit sa première éducation, d’où chaque famille doit aborder aussi le sujet de la santé maternelle à ses membres, afin qu’ils aient une connaissance en ce domaine.
·        Les jeunes filles d’aujourd’hui (mères de demain) : nous les avons visé, parce que la jeune fille d’aujourd’hui, c’est elle qui sera femme de demain. D’où,  étant  jeune fille, elle doit avoir des connaissances en ce qui concerne la santé maternelle, afin qu’une fois mère qu’elle n’ait pas des difficultés sur sa santé ainsi que sur celle des autres.
·        Les mères : comme un adage le dit « éduquer une femme, c’est éduquer toute une nation ». On vise les mères dans le sens où elles se serviront de ces connaissances d’abord pour elles-mêmes, en suite pour son entourage et en fin pour ses enfants.
·        Les femmes enceintes : elles ont plus besoins de ces enseignements pour arriver à se maintenir en bonne santé et à bien soigner le bébé en son sein.
·        Les couples : les couples doivent ensemble recevoir les enseignements sur la santé maternelle, car s’il arrive que la femme oublie une notion apprise, que l’homme la lui rappelle afin qu’ils vivent dans la complémentarité et l’entraide en ce domaine.
·        Les hommes : ils doivent avoir des connaissances sur la santé maternelle pour apprendre, aider et rappeler les notions apprises à leurs filles, sœurs, mères, femmes et autres personnes de sexe féminin qui se trouverait à son entourage.
·        Les hôpitaux : ces derniers sont des administrations, établissements aptes à recevoir en consultation et à soigner les personnes nécessitant des soins.



Signalons également les émetteurs et leurs actions :
Ø Emetteurs :
·        Les organisations internationales ayant pour objectif la santé de tous les êtres humains en général et celle de la mère en particulier.
Nous citons entre autres : l’Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S en sigle). Cette dernière,  fondée en 1948, est une agence spécialisée qui dépend de l'Organisation des Nations unies (ONU), dont le siège est situé à Genève en Suisse.
L’OMS doit agir en tant qu'autorité directrice et coordinatrice de la santé au niveau international. Son but doit être d'amener tous les peuples au niveau le plus élevé possible de la santé. L'agence doit fournir des services techniques ou de conseil. Les services de conseil doit notamment consister à former des professionnels de la santé et à informer sur des pathologies telles que la grippe, le paludisme, la variole, la tuberculose, les maladies sexuellement transmissibles et le syndrome d'immunodéficience acquise (sida), surtout sur les soins des mères et des nouveau-nés, la nutrition, le planning familial et les mesures sanitaires.
Par ailleurs, l'agence doit financer des centres de santé visant à appliquer les techniques modernes et à améliorer les conditions de santé, à combattre des maladies entravant directement la productivité agricole et le développement économique en général. Quant aux services techniques, ils doivent s'occuper de la standardisation, de l'unification des listes de médicaments avec les instructions d'emploi, de la collecte et de la diffusion de données épidémiologiques, des projets internationaux de recherche sur les maladies parasitaires et virales et de la publication des travaux techniques et scientifiques.
·        Le gouvernement par le biais de son ministère de la santé, doit mettre en place des stratégies, techniques, méthodes et moyens selon les problèmes constatés et identifiés pour remédier à cette situation.
 Il doit de ce fait :
-          Faire plus de descentes sur terrain dans les hôpitaux, les ONG, les ASBL dont l’objectif principal de leur existence est la santé, afin d’identifier, de connaitre et de comprendre les véritables problèmes qui créent  un frein sur l’amélioration de la santé maternelle sur toute l’étendue du pays ;
-          Suivre  et évaluer la charge de morbidité pour les mères et les nouveaux nés ainsi que son impact sur les sociétés et leur développement socio-économique ;
-          Renforcer les systèmes de santé et promouvoir des interventions axées sur des politiques et stratégies efficaces, favorables aux plus défavorisés et peu coûteuse ;
-          Forger des partenariats efficaces pour tirer les meilleures parties du peu de ressources disponibles.
Sur base des problèmes qu’il aura à découvrir, le ministère de la santé devra mettre en place des nouvelles stratégies pour palier au frein de l’amélioration de la santé maternelle.

·        Les organisations non gouvernementales (ONG, en sigle) qui ont pour objectif principal « la santé maternelle », doivent :
-          Avoir une forte politique de communication et de marketing non seulement pour attirer l’attention de gens (hommes et femmes), mais aussi et surtout pour augmenter le nombre de participants à leurs activités ;
-          Ils doivent plus utiliser la communication interpersonnelle que la communication de masse, et procéder par l’observation participante afin de susciter la confiance de la part de leurs membres et de découvrir les raisons seyantes qui freinent la  santé de la mère ;
-          Coordonner leurs recherches et leurs applications à grand échelle qui mettent l’accent sur l’amélioration de la santé maternelle pendant la grossesse, l’accouchement et après la naissance de l’enfant ;
-          Favoriser la collaboration avec le  gouvernement pour s’assurer que les soins obstétriques d’urgence figurent en priorité dans les plans nationaux.

·        Les Associations sans but lucratif (ASBL, en sigle). Elles doivent :
-          Mener des actions de charité dans un premier temps pour attirer du monde et ensuite les intéresser sur les enseignements organisés.

3.    La part de la communication
La communication est l’action de communiquer, d’établir une relation avec autrui, de transmettre quelque chose à quelqu’un. Elle peut aussi désigner l’ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion d’un message auprès d’une audience plus ou moins vaste et hétérogène ou encore l’action pour quelqu’un ou une organisation d’informer et de promouvoir son activité auprès d’autrui, d’entretenir son image par tout procédé médiatique.
Nul n’ignore l’impact que joue la communication dans le monde en général et dans la vie de l’homme en particulier en tant qu’être social dans ses relations avec les autres.
De nos jours, les moyens de communication tels que la radio, la télévision ; le téléphone et l’internet font partie de la vie quotidienne de la majorité des personnes. Le téléphone est devenu un moyen de conversation très courant car il permet de transmettre et de recevoir un signal sonore à partir de n’importe où, à travers le monde. La radio qui est un moyen de transmission sonore, avec une grande audience et une rapidité. La télévision quant à elle permet une transmission visuelle et sonore ; ce qui en fait un moyen privilégié pour présenter des bulletins de nouvelles ou des émissions éducatives.   
Ainsi, en ce qui concerne la part de la communication, nous avons relevé certaines actions à mener afin d’arriver à améliorer la santé maternelle. Il s’agit de :
Ø  Organiser les campagnes de sensibilisation sur la santé maternelle en général, et sur l’hygiène pré et post natal de la femme en particulier. Au cours de leurs dialogues et échanges, les orateurs ne doivent pas avoir de la réticence pour aborder le sujet dit « tabou » ;
Ø  Concevoir et diffuser les émissions sur la santé maternelle, toujours accompagnées des spécialistes en santé maternelle ;
Ø  Organiser des enseignements, des séminaires, des journées débats, des rencontres entre les spécialistes de la santé et les femmes ;

Ø  Inciter le gouvernement par le canal des émissions télévisées à prendre en considération ou à s’intéresser à la santé de la femme ;
Ø  Concevoir et distribuer les dépliants et les tracs sur l’hygiène de la femme ;
Ø  Concevoir et placer sur les grandes artères  les banderoles et les affiches toujours sur la santé maternelle  en vue de vulgariser le message ;
Ø  Les spécialistes en communication, que nous sommes, ne doivent pas se limiter à ne faire que la communication de masse, car elle ne servira pas à découvrir tous les  problèmes qui font obstacle à l’amélioration de la santé maternelle. Par conséquent, ils doivent recourir à la communication interpersonnelle et socio-éducative, tout en procédant par la théorie du coût-avantage[2], c’est-à-dire elles perdent de l’argent pour les soins et pour l’achat des produits d’hygiènes, mais pour une bonne cause, gagnent  plus qu’elles perdent : la bonne santé, les connaissances sur sa santé et sur l’hygiène. Mais n’oublions pas que la santé n’a pas de prix.


















4.    Les différentes émissions parlant de la santé maternelle
Dans cette partie, il s’agit de présenter le planning-média.
Médias




Télévision
Chaines
Nom de l’émission
Jour de diffusion
Heure de diffusion
Nom du présentateur
RTNC
« Mwasi ya kala »
Mercredi
10h
Mamie ILELA
B. one
« Top santé »



Antenne A
« Femme et société »
Dimanche
10h35’, après le bulletin d’information
Mamie
Antenne A
« Féminin, singulier »
Samedi
13h
Jing Nawege
RTG@
« Femme au féminin »
















Radio
Chaines
Nom de l’émission
Jour de diffusion
Heure de diffusion
Nom du présentateur
fréquence
Tropicana FM
« dialogue avec un spécialiste »
Chaque mardi
De 16h30’ à 17h30’
T. Micheline
95.9 MHz




































Conclusion
Si le célèbre écrivain CAMARALAY avait pu écrire ce poème grandiose de la « femme noire », ce n’est pas parce que cette femme était noire, mais c’est avant tout parce qu’elle était « femme ».
Si Simone DE BOUVOIR a été inspirée d’écrire le livre : « On ne nait pas femme, mais on le devient » ce n’est pas parce qu’elle était un célèbre écrivain, mais c’est parce qu’elle était tout simplement « femme ».
Si un proverbe Français dit : « Eduquer une femme, c’est éduquer toute une nation », ce n’est pas par fantaisie, ni pour plaire aux femmes. Mais ce parce qu’il reconnait la vraie valeur de la femme. Il sait qu’une seule femme suffit pour qu’une nation soit éduquée.
Mais comment voulez-vous qu’une femme qui n’a pas une bonne santé puisse parvenir à éduquer toute une nation ou
Mais comment voulez-vous qu’une mère puisse parvenir à éduquer toute une nation si sa santé n’est pas améliorer.
Comment la nation sera éduquée ? Or, qui dit éduquer, dit développement. D’où l’amélioration de la santé maternelle ; car on ne peut parler du développement sans parler de la santé maternelle.
Ce qui a fait que l’objectif du millénaire pour le développement puisse aligner l’amélioration de la santé maternelle comme son cinquième objectif.
Ce cinquième objectif du millénaire pour le développement ne peut s’atteindre et produire les résultats escomptés que si les quatre premiers objectifs ont été atteints, c’est-à-dire que si :
*      La pauvreté et la faim ont été réduites ;
*      On a assuré l’éducation primaire de tous les enfants à l’âge de l’école ;
*      On a promu l’égalité du genre et l’autonomisation des femmes ;
*      On a placé des stratégies pour réduire la mortalité enfantine.


[1] B. BROCK, Education à la vie : période prénatale 1, Kinshasa, Saint Paul -Afrique, 1975, p. 63   
[2]

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